Adieu Olivier
Horrible début d’année 2019. Ce 2 janvier à 20h30 , notre collègue et ami Olivier Cottier nous a quittés. Entouré des siens, bercé, emporté doucement sur une chanson du Pays Basque, son pays de cœur.
Horrible début d’année 2019. Ce 2 janvier à 20h30 , notre collègue et ami Olivier Cottier nous a quittés. Entouré des siens, bercé, emporté doucement sur une chanson du Pays Basque, son pays de cœur.
Nous quittant pour se soigner il y a quelques semaines, il partait livrer un nouveau combat, confiant dans sa hargne pour se battre et avoir raison une fois encore, une fois de plus, de la saloperie qui l’avait déjà attaqué par deux fois. Hélas cette fois le combat s’est révélé inégal et le mal sournois a eu raison du colosse qu’était Olivier. Il venait d’avoir 57 ans.
Olivier avait intégré le groupe Edirégie en mars 1995, au sein de la rédaction de Camping-car magazine, où il restera une douzaine d’année, avant de tenter un nouveau challenge professionnel en rejoignant la rédaction de l’ OT. Depuis lors, c’est avec les patrons de camping, les industriels de l’hébergement, les fabricants d’accessoires et d’équipement, les organisateurs de salons qu’il partageait sa bonne humeur, son humour, son goût des rencontres et de l’échange.
Les marques de sympathie reçues dernièrement de la profession par sa famille, témoignent de l’empreinte de son humanité sur tous. Sensible aux autres, le cœur sur la main, intarissable sur les sujets qui le passionnaient, la littérature, les bons mots, l’escrime, et son cher Pays basque.
C’est peu de dire que le « gros de la rédaction » comme il aimait à se présenter lui-même, va laisser un grand vide et une immense tristesse. Au sein de l’équipe de l’OT et parmi ses collègues d’Edicamp et Régicamp évidemment, dans la profession, et par-dessus tout dans sa famille qu’il chérissait.
C’est à Véronique son épouse, à ses fils Nicolas et Jonathan dont il était si fier, que nous pensons aujourd’hui.
Repose en paix Olivier