La Côte Atlantique, nouvelle marque de promotion touristique
Portée par un collectif de 34 partenaires dont cinq fédérations de l’HPA, la Côte Atlantique est devenue officiellement un contrat de destination.
Portée par un collectif de 34 partenaires dont cinq fédérations de l’HPA, la Côte Atlantique est devenue officiellement un contrat de destination.
La Côte Atlantique a officiellement été retenue par l’Etat comme « contrat de destination » pour figurer parmi les grandes destinations touristiques françaises afin de promouvoir la France à l’international pendant trois ans. La signature a eu lieu le 19 juillet à l’hôtel Matignon.
Il existe actuellement une vingtaine de contrats de destination (la Provence, le Mont Saint Michel et sa baie, la vallée de la Dordogne…). Des marques « territoire » qui ont pour objectif de « créer des destinations au-delà des périmètres administratifs, permettant d’associer tous les acteurs français du tourisme, publics et privés, autour d’une même marque de territoire et de proposer une offre mieux structurée et plus visible sur le plan international ».
Trente-quatre partenaires (2 régions, 6 ATD, Offices de tourisme, etc.) ont signé ce contrat, parmi lesquels les cinq fédérations de l’HPA de la côte Atlantique : Charente-Maritime, Vendée, Gironde, Landes et Pyrénées-Atlantiques. Elles font d’ailleurs parties des membres fondateurs du collectif « Destination Côte Atlantique ». C’est Jean-Baptiste Dagréou, président de la Fédération Aquitania de l’HPA qui représentait la filière « camping » lors de la signature du contrat.
La nouvelle marque recoupe un territoire qui s’étend de La Baule à Hendaye, soit plus de 1 200 km de littoral. La signature de ce contrat de destination signifie que la marque Côte Atlantique va bénéficier de l’appui technique et financier de 75 000 € sur trois ans de l’Etat et d’Atout France, ajouté à un budget de près de 900 000 € sur 3 ans (dont une participation de 100 000 € venant de la filière HPA) pour assurer la promotion de la destination à l’international. Un plan d’action va être mis en place sur plusieurs marchés : l’Allemagne, les Pays-Bas, mais également des marchés plus lointains.