La fédération aquitaine dans la tourmente
La Fédération régionale Aquitaine de l’Hôtellerie de Plein Air, va t-elle imploser ? Mardi 19 janvier à 9 heures au siège de la Fédération nationale de l’hôtellerie de Plein Air à Paris,
La Fédération régionale Aquitaine de l’Hôtellerie de Plein Air, va t-elle imploser ? Mardi 19 janvier à 9 heures au siège de la Fédération nationale de l’hôtellerie de Plein Air à Paris,
La Fédération régionale Aquitaine de l’Hôtellerie de Plein Air, va t-elle imploser ? Mardi 19 janvier à 9 heures au siège de la Fédération nationale de l’hôtellerie de Plein Air à Paris, le comité des sages, sous l’égide du président Guylhem Féraud, a reçu les cinq présidents des départements aquitains et le président de la fédération Jérôme Thévenon. Cette réunion de médiation, car s’en était bien une, a été suscité après la décision des Pyrénées-Atlantiques et des Landes de démissionner du CA de la fédération régionale et de refuser le paiement des cotisations. Motif officiel de la grogne, le site Internet régional qui, sur le modèle de celui de Poitou-Charentes- et avec leur aide- doit aligner sur la Toile tous les campings Aquitains et offrir disponibilités et réservations en ligne. Trop chers accusent les deux départements dissidents. Mais d’autres problèmes sont soulevés, comme celui des statuts…Après trois heures de réunion, le dialogue est renoué. « On a convenu de faire table rase de nos griefs. Avec les cinq départements, nous allons nous retrouver début février à Bordeaux afin de travailler à de nouveaux statuts. Sachant, comme l’a précisé Guylhem Féraud, qu’en matière d’engagements notamment vis-à-vis du site Internet, il sera impossible de revenir en arrière » indique Jérôme Thévenon.On s’achemine donc vers une représentativité des départements différente au sein de la fédération régionale. Quelques pistes ont été suggérées. Une présidence tournante sur deux ans où chaque président de département occuperait le poste à tour de rôle ; une fréquence des réunions accrue, mais cette fois en comité réduit de cinq à six personnes. Chaque président pourrait encore devoir obtenir le quitus de son comité avant de pouvoir voter au CA régional.La volonté de déboucher sur un consensus est réelle afin de retrouver la sérénité indispensable pour aller de l’avant.par Brigitte Ducasse